Tsuk [Pirate sur le vigilant]

Nom : /

Prénom : Tsuk

Surnom : /

Sexe : Masculin

Age : 23 ans

Race : Amphibien

Métier : Pirate

Navire : Le vigilant

Pouvoirs :

Tsuk possède le pouvoir d'absorber l'énergie vitale de ses adversaires, et même de la reconvertir en élément compact, pouvant créer ainsi des attaques défensives et offensives. Pour ce faire, il doit percer avec précision un point du corps de l'ennemie d'une aiguille fine d'1 mm de diamètre. Ceci fait, il commence à absorber l'énergie, plus la personne est en pleine forme et plus elle peut "remplir" Tsuk en énergie. Ce pouvoir n'est bien sur pas gratuit et il doit lui même payer en vitalité ce qu'il prend aux autres, toutefois les effets de ce "manque" d'énergie se manifeste souvent après le combat. S'il absorbe trop, le garçon risque de payer le prix fort, sa vie.

Particularités ou signes distinctifs : Étant amphibien, il possède huit branchies, les siennes sont situées sous ses omoplates.

Équipement :

Caché sous ses vêtements Kiuriens, se trouvent une petite panoplie d’arme, il possède en effet des tas d’objets offensifs.
Une épée, il s'en sert lors des combat au corps à corps, elle est un peu lourde pour l'amphibien mais elle a une qualité qui a séduit Tsuk : son petit prix
Un poignard, manche en cuir, lame d’acier, il s’en sert pour éliminer les personnes qui s’approche un peu trop de lui, c'est le vieux machin qui lui a légué.
Un revolver, une unique balle, comme le veux la tradition, une balle en argent que jamais il n’a utilisé.
Il possède aussi, une petite boite d’aiguille, qui est assez bien caché pour que personne ne la trouve.


Description physique :

Plutôt grand, il fait bien 1 mètre 86, Tsuk n’est tout de fois pas très imposant malgré sa taille car il manque d’assurance. On peut remarquer que ça démarche est hésitante et que ses mouvements sont loin d’être précis, sur terre tout du moins, car sous l’eau, c’est une autre histoire. Etant amphibien, il nage bien mieux que les humains et il est bien plus précis dans sa façon de se déplacer et dans ses gestes qu’il l’est sur la terre. Sa voix est plutôt grave et elle n’a pas l’accent que portent généralement les Kiuriens. Tsuk porte ses cheveux bruns longs et les attache derrière sa tête pour ne pas être gêné, ce qui ne les empêche pas de parfois venir lui balayer le visage, s’ils sont aussi long c’est surtout parce que l’amphibien ne prend jamais le temps de les couper. Les yeux du jeune homme sont très bleu. D’une grande pâleur, ils expriment toute la tristesse de Tsuk. Sa peau aussi est très pâle, voir même bleutée, sans doute un héritage de son parent ondin, elle est, comme celle de tous les amphibiens composés de minuscules écailles qui étrangement dans son cas, se voient à l’œil nue autour de huit branchies qu’ils portent sur ses omoplates, semblables à d’immenses cicatrices et rappelant que malgré son apparence humaine, c’est tout de même un métisse. Il les cache bien sur des regards des autres pour éviter la discrimination qu’il avait connu autrefois, toutefois il n’est pas sorcier de reconnaître certains signes qui montrent bien ce qu’il est. Outre ses branchies, il y a ses oreilles pointus qu’il essaye de cacher tant bien que mal par ses cheveux, et puis ses écailles qui se voient quand on y regarde de très près, c’est une des raisons pour lesquelles ils gardent les gens à distance. Le visage de Tsuk est presque toujours calme et lointain, comme perdu. Il possède une fine musculature est est plutôt agile. Quand à la beauté, Tsuk n’est pas réellement d’une beauté à couper le souffle, mais on peut dire que sa tristesse lui donne un certains charmes, ces branchies jouent par contre très bien le rôle de tue l’amour, de toute façon, ce n’est pas comme si ça faisait partie des préoccupations du garçon qui se fiche un peu de son apparence.


Description mentale :

Tsuk était autre fois un enfant pleins d’illusions qui pensait qu’ailleurs, il n’y avait que du paradis et qu’il avait eu la malchance de vivre en Enfer. Quelques années ont suffis à lui faire comprendre que le paradis n’existait pas et que l’Enfer était partout. Ces « découvertes » l’ont rendu peu confiant, peu aimable, il n’a pas l’habitude d’apprécié les gens et est plutôt solitaire. L’amphibien se victimise à longueur de temps et pense que personnes ne peut l’aimer. Convaincu depuis peu que dans ce monde, tout a un prix, il a décidé de vivre ailleurs. Pas dans un autre monde, mais pas sur la terre que les hommes avaient souillés de leur avarice et de leur capitalisme. Il est aussi arrogant et pleins de ressentiment, le garçon a effroyablement peur de la vie et des malheurs qu’elle peut lui apporter, il a peur de chose beaucoup en réalité mais le cache assez bien. Car si Tsuk a bien une qualité, c’est sa maîtrise de ses émotions et de ses sentiments. Il garde tout pour lui, la colère, la haine, tous ce bouillon de sentiment négatifs que seule son calme l’empêche de déballer. C’est cette maîtrise spirituelle qui lui a permis de mieux maîtriser son pouvoir. Cependant quelque fois, il lui arrive d’exploser, pas dans un tourbillon de colère ravageur, non, Tsuk pleure sa haine, la douceur de ses larmes étant paradoxale à la violence de sa colère. N’exagérons rien, l’amphibien n’est pas un terrible démon emprisonner dans le corps d’un innocent garçon, et il lui arrive de sourire, d’être même rempli de joie, les personnes l’ayant connu étant toujours immensément surpris que de telles manifestations de joies puissent émaner d’une créature aussi triste. Le jeune homme n’a pas une intelligence surdéveloppée mais il n’est pas simple d’esprit et aime discuter plus ou moins sérieusement avec d’autres personnes. Bien qu’il sache se battre, l’amphibien n’est pas un combattant acharné et il n’est pas non plus un tueur. Il comprend la valeur d’une vie humaine et n’en prend qu’en dernier recours. L’amphibien réfléchit toujours avant d’agir et ne prends pas de décision inconsidéré, Finalement Tsuk est très lunatique et si sa haine des autres prédominent, il peut arriver qu’il change brutalement et devienne plus heureux, ce sont seulement les moments où il se dit que tous les hommes ne se ressemblent peut-être pas. Où il arrive à leurs pardonner, car il considère que c’est l’humanité toute entière qui l’a anéanti. Il n’est pas né aussi égocentrique, mais c’est ainsi qu’il est devenu.

Histoire : (10 lignes minimum)

« Tsuk? C’est pas un nom ça! »

Le jeune Kiurien s’amusa quelques secondes de l’air déconfit de son ami. En réalité, ce n’était pas son ami mais, Tsuk aurait préféré.

« C’est le mien en tout cas. »

L’enfant en face de lui parut étonné, il découvrait en son interlocuteur une personne qu’il n’avait jamais réellement regardé. Il ne voyait en l’amphibien qu’une sorte de monstre difforme surgissant des mers pour couler des navires et ne faisant jamais de survivant. Et pourtant, celui que les parents du gosses avaient si souvent surnommé « le bâtard » avait un nom, pas un vrai nom, pensait le petit garçon , mais c’était tout de même un nom. Est-ce que les monstres avaient un nom? Oui sans doute… mais pas un aussi jolie nom. Des Krakens et des Léviathan, pas de Tsuk parmi les effroyables créatures que l’homme avait inventé. Pourquoi d'ailleurs était ce un monstre? Le petit n'en avait aucune idée alors...

« Pourquoi je ne dois pas te parler? »

La question avait retenti comme l’explosion d’une bombe dans le cœur de Tsuk. Il savait ce qu’on pensait de lui au village, il connaissait tous ces surnoms pas très amicales qu’on lui donnait. Il se doutait qu’on ne le présentait pas aux enfants comme le plus sociable des hommes. Bon…il n’était pas sociable…et ce n’était pas un homme non plus. Mais entendre encore une fois que les parents interdisaient à leurs gamins de venir le voir était dur. L’amphibien n’avait pas un cœur de pierre, pas encore. Voilà qu’il était en fasse d’un petit d’à peine dix ans qui lui avouait qu’il bravait l’interdiction de ses parents en lui parlant. Que répondre? La vérité?

« Pour ça! »

L’enfant retenu un cri de terreur,! Quatre paires de monstrueuses branchies, des branchies, semblables à celles d’un poisson. Des branchies de monstres. Il voulut fuir, tomba par terre, regarda les yeux de la créature qui pour le garçon étaient ceux d’un tueur d’enfant. Evidemment Tsuk ne s’était pas attendu à des exclamations de joies et de grandes embrassades fraternelles. Mais est-ce qu’il était si effrayant que ça? Le « monstre » contempla l’enfant, essaya de le rattraper, tel un fou qui a perdu sa victime, mais à quoi bon? Il se rassit sur le sable à contempler la mer. L’adolescent était seul…encore.

Il se remémora la première fois qu’il avait essayer de s’intégrer aux villageois, il avait environ six ans, tout d’abord, ils l’avaient regardé de travers, pas très habitué à être regardé de travers, pas très habitué à être regardé, Tsuk avait cru à une attitude normale devant l’inconnu. Il s’était encore avancé et les gens avaient détournés le regard. Quelques pas encore et, du haut de leurs fenêtres, les gens l’insultaient. Il s’immobilisa, essayant de comprendre le sens des propos, pas très habitué à entendre ce genre de choses, pas très habitué à entendre. « Bâtard » disait un premier, et cette insulte était la plus courante, elle et tous ses dérivés. Les autres, le jeune homme ne s’en souvient plus c’était toujours la même chose. Les larmes aux yeux il avait encore fait quelques pas, cette fois des hommes sortir d’une auberge. Ils n’avaient pas l’air très amicale et Tsuk commença à reculer…trop tard, il se reçut un coup sur la tête, d’une force assez impressionnante. Un coup de pied cette fois, au tibia, puis quelques claques et d’autres coups de poings, entre les côtes et sous le menton. L’amphibien ne se défendit même pas, pas habitué à se faire frapper de cette manière, pas habitué à se faire frapper du tout. Il finit par s’évanouir sous la violence des coups, sous la violence des mots et les larmes qui avaient jaillis de ses yeux coulaient encore jusqu’à ses lèvres.

Le lendemain, il fut recueilli par une sorte de vieil homme complètement sénile. Il savait écouter mieux que n’importe quelle autre personne et si il ne parlait pas à des amis imaginaires ni ne balançait des histoires fumeuses à qui voulait les entendre, il passerait sans doute pour quelqu’un de sain d’esprit. Mais c’était sa folie qui le rendait différent, et c’était cette différence qui l’avait poussé à recueillir Tsuk. Bien sur ce n’était pas gratuit, le jeune homme devait l’aider à réaliser toutes sortes de taches pour aider le vieillard. Mais il avait un toit et il se sentait utile, une sensation que l’amphibien n’était pas prête de retrouver. Toujours est il que les habitants ne l’attaquaient plus depuis qu’il était à la solde du vieux machin, le vieux machin était un surnom que Tsuk n’avait jamais compris, mais qu’il utilisait tout de même pour « se fondre dans la masse ». Le vieux machin donc, racontait des tas d’histoires fabuleuses sur la mer. Le vieux machin aimait la mer, et si on considérait que cet homme était une figure paternelle pour l’amphibien, c’était bien l’océan qui était sa « mère ». La plus étonnante des histoires que raconta le vieil homme, c’était celle de la naissance de Tsuk, et le garçon se souviendrait toujours cette histoire.

« Ta maman mon petit, c’était une femme aussi triste qu’elle avait sans cesse envie de mourir… elle était prisonnière d’un monde qu’elle ne comprenait pas. Un jour, elle a voulut se libérer de ses chaînes alors elle est allée au fond de l’océan s’y noyer! Mais ton père lui, il était là, c’était un gigantesque poisson qui la sauva. Il l’emmena sur la terre ferme et ils s’aimèrent, puis ton père est mort d’une affreuse maladie, et ta mère à été obligé de revenir ici avec son bébé, les villageois n’ont pas été très compréhensifs et BOUM Terminus au revoir! FINIIIIIIIIII. Plus la fillllllle. Morte! Morte! Morte! »

Le bonhomme était parti dans un affreux délire, il courrait partout en répétant ce mot « morte ». Quand à Tsuk, il ne supportait pas ça, en général à ce moment là, il partait dans la chambre que lui avait emménagé le vieux machin. Pas cette fois, car même si cette crise était plus dur à supporter que les autres pour le petit garçon, il savait que cette histoire n’était pas une image ou des paroles en l’air, sinon le vieillard y aurait mis les formes. C’était plutôt un aveux. Quand enfin le fou se fut calmé il termina son court récit.

« L’enfant…ils ne l’ont pas tué, sans doute ont-ils eut de la pitié, ou peut-être qu’ils ont eu peur que ton père ne se venge, après tout ils ne savaient pas qu’il était mort. Maintenant petit, va te coucher »

Et il eut un large sourire qui laissa paraître ses dents jaunes et sales. Ce qui n’était pas son habitude, c’était un sourire forcé si atroce que Tsuk préféra tourner les yeux dès qu’il le vit. Ce n’était qu’un garçon de huit ans à l’époque et un rien l’effrayait. Quand il fut couché, il entendit le vieux machin pleurer toutes les larmes de son corps et se demanda quelle souffrance cachait l’homme.

La vie de l’amphibien continua ainsi pendant quelques années jusqu’à ce qu’un jour, un villageois l’agresse. Tsuk cette fois, ne comptait pas se laisser faire, il prit par terre le plus dangereux des objets qu’il trouvait et lorsqu’il ramassa une aiguille sur le sol, la magie se révéla enfin, il la planta dans le corps de son adversaire et lui absorba tant de son énergie vitale, que l’ennemie risqua de mourir. Tsuk aussi. Après cet incident, les villageois décidèrent de chasser définitivement Tsuk qui dut alors vivre au bord de la mer. Il apprit la pêche et la nage et réussit à vivre presque bien, quelque fois, le vieux machin venait lui apporter à manger et ils discutaient tous les deux. Son était semblait s’améliorer, plus de crises de délires, plus d’amis imaginaires. Et un jour il raconta à Tsuk l’histoire de sa folie.

« Vois tu, petit, A l’époque, il y avait un certains nombres de choses que j’aimais, et on me les a arraché. Premièrement, la mer, encore aujourd’hui, j’ai l’impression qu’elle m’appelle. Ensuite, ma femme, elle est morte vois tu…il y a aussi tous mes souvenirs, cette fois s’en fut trop, mon esprit partait parfois, rendre visite à ce que j’avais laissé. Aujourd’hui j’ai moins de regret et puis…j’ai un fils! »

Tsuk avait toujours considéré le vieux machin comme une sorte de père, l’éduquant et l’aidant, c’était un homme bon sans préjugé. Mais jamais il ne l’avait entendu dire ça à propos de lui. Ni lui, ni personne ne lui avait jamais dit ça. Et il fut si ému qu’il faillit pleurer.

« Mais vois tu petit, mon temps est presque écoulé et la souffrance, même si tu l’as apaisé, continue de me rendre fou. Alors petit, si tu m’aimes, allège encore…ma souffrance »

L’amphibien savait qu’il aurait facilement dissuader son maître, mais à quoi bon? Il aurait sans doute réessayer, ou alors la mort l’aurait eu. Pourquoi s’acharner à prolonger sa douleur? Tsuk ne montra donc aucun signe de faiblesse quand doucement, il pris le couteau du vieux machin. Quand il le brandit au dessus de lui. Quand il lui enfonça dans la poitrine, sachant que la larme qu’il versait serait la dernière. C’est quelques secondes après avoir rendu son corps à la mer qu’il se mit à pleurer, encore une fois, une dernière. Les villageois criaient que le jeune homme l’avait tué, mais il n’en avait rien à faire. Ils le détestaient tous après tout, et aucun d’eux, ne comprenaient…

*Le gamin de tout à l’heure ne comprenait pas non plus*

Mais ce n’était qu’un gosse et qui pourrait lui en vouloir de vivre avec les principes que lui ont inculqués ses parents? Tsuk! Mais Tsuk en voulait à tellement de personnes que ça ne devait même pas compter. Il aurait aimer que son avis compte, mais ce n’était pas le cas. Il se fichait un peu de tout maintenant, mais voulait absolument quitter cette vie. Quitter sa plage, quitter Kiuri. Pour aller où? Ca il n’en savait rien. Il avait entendu parler d’un repère de pirate, « l’archipel du pendu », un nom assez drôle. Un repère de pirate, à l’époque, Tsuk avait une définition assez positive des pirates et ne les craignait pas. Il partit de Kiuri à 14 ans.

Il se rendit donc jusqu’à l’archipel à la nage, découvrant avec joie son côté ondin, d’ailleurs, il ne rejoint pas directement l’archipel, préférant profiter de la formidable chance que la nature lui avait donné. Une chance qu’on lui avait fait payé, mais ce n’était as la jalousie qui animait ceux qui le haïssait pour ce qu’il était, c’était la peur. La peur était un sentiment que Tsuk avait toujours connu, il avait peur des autres et les autres avaient peur de lui, ça marchait comme ça depuis la première fois qu’il était arrivé au village. Quand il arriva à la « merveille » qui l‘avait poussée à quitter Kiuri, il se rendit compte que c’était très loin de ses attentes et son idée des fières marins fendant les flots avec pour seul but la liberté s’en alla assez vite. Il découvrit sur l’archipel des tas d’horreurs qui lui montrèrent que la petite bulle dans laquelle il avait vécu jusque là n’était pas si affreuse que ça. Il commença donc à grandir spirituellement. S’habituant à entendre des choses plus horribles chaque jour. L’adolescent avait réussi à pénétrer cet endroit uniquement parce qu’il était seul, car c’était une véritable barrière contre la marine et les corsaires. Au fur et à mesure que son esprit changeait, il commença à se dire que la condition de pirate ne devait pas être si affreuse que ça. Il vivait de la pêche et de quelques plantes qu’on trouvait sur l’archipel et s’était à peu près bien intégré mais la mer l’appelait toujours. Pendant des jours entiers il a cherché, ne dormant presque pas pour la trouver, « Ofina ». Tsuk se disait que si la race de sa mère ne le supportait pas, il ne lui restait plus qu’à se tourner vers les ondins. Mais si l’amphibien a pu se délecter des milliers de merveilles que la mère offrait. Il n’a pas trouvé de telle cité. Condamné à ne jamais rencontrer la race qui constituait la moitié de ce qu’il était. Et Tsuk retourna à l’archipel, contraint. Cet endroit n’était pas tellement mieux que Kiuri, après tout ici on ne l’insultait pas mais, le jeune homme se sentait toujours aussi seul. Curieusement, il commença à discuter avec certaines personnes, ce n’était peut-être pas des amis, mais c’était mieux que rien. Bientôt, il commença à mener une petite vie tranquille dans cet endroit, ayant appris à se battre par nécessité, il c’était quasiment intégré au milieu de ses pirates et hors la loi, il trouva en certains des motivations plus nobles qu’une vie de pillage. Tsuk appris qu’on pouvait être pirate et avoir des principes mais que l’avantage quand on était un pirate, c’est qu’on avait pas besoin de principes. Cette vie, ce n’était pas le paradis, mais c’était une belle vie. Et Tsuk faisait toujours attention à ne pas devenir un débauché, buvant et charmant les femmes à longueur de temps, d’ailleurs, les femmes étaient plutôt une source d’ennui dans l’imagination du métisse et il n’avait pas tant envie d’en côtoyer. D’ailleurs il ne s’approcha jamais de trop près d’une femme, et tous les troubles que connaissent les adolescents étaient loin de lui, peut-être était-ce parce qu’il était à moitié ondin.

Mais cette vie finit par le lasser, il voulait retourner à la mer qui avait été si présente dans sa vie, et l’amphibien ne rêvait plus que d’une chose, rejoindre un navire. Car bien que plus froid et moins sensible qu’avant, Tsuk garde au fond de son cœur la plus grande peur qu’il ai connu, la peur des hommes.

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Comment trouvez-vous le forum : Génial

Comment avez-vous connu le forum : Un top site il y a longtemps je crois

Des commentaires ? Je repars à 0 (avec l'autorisation de Nicholas) j'ai donc à peu près tout changer, pour le fait d'être amphibien je crois que toutes les conditions sont remplis. J'ai aussi changé de navire, N'ayant pas beaucoup RP sur le Laisse-les-dire et ayant recommencé à 0 je ne pense pas que ça pose problème. Voilà c'est à peu près tout, ah pour l'avatar je l'ai pris dans la liste des Kiuriens mais je n'arrive pas à l'afficher. Vous pouvez aussi supprimer l'autre fiche (l'ancienne).

Jack, on ne poste pas sur une fiche avant qu'elle ne soit validé tss.

C'est bon Tsuk, je valide

Pour l'avatar, dis moi lequel c'est exactement que je t'arrange ça

LOL Eze !

bienvenu parmi nous Tsuk
tu as une merveilleuse présentation...je te félicite pour cela ^^

Merci Allen, merci Jack et merci Ezechiel.

Je précise que si j'ai été absent ces derniers jours, c'est à cause de ma connexion internet qui ne marchait plus.

Pour l'avatar, c'est celui là :

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